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LÂCHER PRISE

L’une des choses les plus difficiles que nous ayons à apprendre dans la vie, c’est bien le lâcher prise. C’est aussi l’une des choses les plus mal comprises. Peu de gens aiment se faire dire : « lâche prise! »Comment lâcher prise quand nous vivons un deuil? Comment lâcher prise quand notre conjoint nous trompe? Comment lâcher prise quand notre enfant se laisse envahir par ses démons?

Devant une situation complexe, quand devons-nous lâcher prise et quand devons-nous persévérer? On nous dit de réaliser nos rêves, mais quand ça n’aboutit pas après des années d’efforts, devons-nous nous entêter ou lâcher prise?

Souvent, il faut bien l’avouer, nous ne voulons pas lâcher prise parce que nous voulons que les choses se réalisent à notre façon, quand nous le voulons et pas autrement. Ou parce que nous ne voulons pas avoir l’air d’un lâcheur, justement, quelqu’un qui laisse tomber dès les premiers obstacles.

Pour pouvoir lâcher prise, nous devons accepter de faire certains deuils, le plus important étant celui de renoncer à ce que tout fonctionne à notre manière. C’est notre ego qui veut toujours avoir raison qui résiste le plus à laisser aller.

Dans la réalisation de nos rêves, il faut faire tout ce qu’on croit possible de faire pour que ceux-ci-ci se réalisent. Le « comment » et le « quand » cela va se faire ne nous appartient pas! Lâcher prise ici, c’est faire ce que nous avons à faire pour favoriser la réalisation de notre projet, puis lâcher les rênes et faire confiance à la Vie pour la réalisation, ou non, de notre rêve.

Lâcher prise, c’est accueillir ce que la Vie met sur notre chemin pour notre évolution, que ce soit le succès de nos démarches, ou le non-aboutissement de celles-ci.

Ce n’est pas ne rien faire : c’est faire ce que nous pouvons, puis faire confiance. C’est persévérer, mais ne pas s’entêter. Ce n’est pas se laisser démolir par les obstacles, mais les voir comme une occasion de vérifier notre engagement envers ce à quoi on croit tenir. C’est cesser de rechercher la perfection et respecter nos limites.

C’est surtout respecter le fait que ni les autres ni la Vie n’ont à être comme nous voudrions qu’ils le soient.

Lâcher prise, au fond, c’est faire confiance à la Vie et croire profondément qu’elle sait mieux que nous ce dont nous avons besoin pour notre évolution. En tout temps.

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20 thoughts on “LÂCHER PRISE”

  1. Merci pour cet article intéressant.

    « Lâcher prise, c’est accueillir ce que la Vie met sur notre chemin pour notre évolution, que ce soit le succès de nos démarches, ou le non-aboutissement de celles-ci.

    Ce n’est pas ne rien faire : c’est faire ce que nous pouvons, puis faire confiance. C’est persévérer, mais ne pas s’entêter.  »

    Le problème du lâcher-prise, c’est qu’il demande une lucidité sur soi-même et sur son environnement que peu d’entres-nous ont (voire personne ?).

    Il faut accueillir ce que la vie nous donne mais tout de même faire le maximum pour atteindre nos objectifs, c’est bien cela ?

    Qu’est-ce que le maximum ? Où est la frontière entre la persévérance et l’acharnement ? A partir de quel stade peut-on dire que le problème est passé de contrôlable à incontrôlable ?

    Il est quasiment impossible de répondre à ces questions. Pire, leur réponse varieront d’une personne à l’autre. E plus, celle-ci devra prendre des décisions durant des climax émotionnels.

    La risque de l’état d’esprit du lâcher-prise, c’est de laisser ce côté paresseux, flemmard, peureux, de nous-même prendre le dessus. On finira par décréter que tout ce qui nous arrive est une bonne leçon et que nous ne devons lutter pour rien.

    Des martin Luther King, des mères Teresa, des Gandhi, ont-ils vraiment su où été la limite entre le contrôlable est l’incontrôlable ?

    Ils ont fait l’impossible et n’ont donc pas respecter leurs limites voire mêmes les limites de l’humanité elle-même !

    Alors, peut-on réellement parler de « respecter ses limites » ou encore « d’accepter ? » ?

    Personnellement, je ne le pense pas, et c’est pour ça que j’ai développé cette pensée dans mon article : Pourquoi il ne faut pas lâcher-prise : http://speedevelopment.com/ne-pas-la%CC%82cher-prise/

    Merci encore pour cette réflexion et à bientôt,

    Christopher

  2. Bonjour Christopher,

    J’ai lu attentivement ton article et je pense que tu n’as pas très bien compris le lâcher-prise, a mon avis tu n’as pas compris la subtilité de cette notion. Car en te lisant j’ai le sentiment que tu crois que lâcher prise c’est juste de ne rien faire. Or ce n’est pas vraiment ça….

    Car lâcher prise, « ce n’est pas ne rien faire : c’est faire ce que nous pouvons, puis faire confiance. C’est persévérer, mais ne pas s’entêter ». Donc se battre, mais aussi accepter la vie comme elle est et non comme tu voudrais qu’elle soit, c’est accompagner le flux de la vie car on ne contrôle pas tout. Et parfois, des gens se battent inutilement dans une direction et s’entêtent alors qu’il vaut mieux pour eux arrêter de se battre et laisser faire la Vie et accepter. Il y a aussi des gens qui se battent utilement et qui font de grandes choses, mais quand ils échouent dans un domaine, s’ils savent lâcher prise, ils acceptent l’échec et prennent une autre direction, celle que la Vie leur a dictée. Car la Vie nous réserve parfois autre chose que ce que nous croyons et quelque chose qui nous correspond mieux, l’échec est souvent un cadeau de la Vie pour nous faire évoluer dans une autre direction. Il faut accepter qu’il y a quelque chose de plus haut que nous, de plus grand qui influence nos vies, nous ne sommes pas les seuls à décider. Mère Teresa, justement, est l’exemple du lâcher-prise car elle croyait profondément en Dieu. Elle s’est battue en se disant que c’était sa mission de vie et si elle a réussi, c’est certainement aussi car elle s’est battue main dans la main avec Dieu, qui l’a guidée sur son chemin.

    Ça peut paraître paradoxal mais qui a dit que la vie n’était pas paradoxal ? Trouver l’équilibre, c’est justement accepter le fait que les choses sont souvent paradoxales et utiliser son intuition et son cœur pour décider s’il faut se battre plus ou non. Je ne suis pas non plus d’accord avec toi quand tu dis qu’il faut choisir son camp de façon tranchée : soit lâcher prise complètement ou tenir prise. Car justement ce n’est pas ça la vie, je pense que la vie est par essence paradoxale et il n’y a pas de bonne ou de mauvaise chose à faire qui marche tout le temps : quelqu’un pourra lâcher prise dans une situation de sa vie bien précise (par exemple, cesser d’essayer de courir après son ex pour qu’elle se remette avec lui) et choisira de tenir prise dans une autre situation (se battre pour réaliser sa passion) car il sentira qu’il s’agit de la chose appropriée à faire. Mais, lâcher prise c’est se battre et laisser le résultat à la vie en faisant confiance et en sachant que nous ne pouvons pas tout contrôler.

    Car vouloir tout contrôler dans sa vie, c’est illusoire, c’est fatiguant et c’est la recette de l’échec. Tu dis « oui j’ai envie que les gens m’apprécient », désolée mais quand j’entend ça, j’ai beaucoup de compassion pour toi car il est impossible d’être aimé par tout le monde et c’est un peu dommage d’en avoir envie. Etre aimé fait partie des choses qu’on ne peut contrôler ; car c’est une conséquence, ça vient à nous en fonction de qui nous sommes et ça ne vient jamais totalement à nous. Chacun est différent, chaque personne sera perçue d’une autre façon car chaque personne sera regardée par les autres avec leurs yeux.

    Je te souhaite de beaux progrès sur ton développement personnel

    1. tout-a-fais d’accord avec toi!! et pour moi lacher-prise c’est aussi une preuve de courages et d’un très grand pas pour la confiance en soi et se que l’avenir nous réserve… faut lâcher prise apres certain temps, car c’est un poids sur les épaules, un casse-tête, et meme un gros stresse je pourrrais meme ajouter te rendre malade!!!! lacher prise et foncer dans la vie, la vie est faite pour vivre et non a rester a un point de depart…

    2. Bonjour Pauline et merci beaucoup pour ta réponse.

      « Donc se battre, mais aussi accepter la vie comme elle est et non comme tu voudrais qu’elle soit, c’est accompagner le flux de la vie car on ne contrôle pas tout. »

      Et comment est la vie ? Personnellement, je sais que mon expérience de la vie est purement subjective et totalement déformée par mes pensées, émotions et expériences. Je n’ai pas l’orgueil ni le pouvoir de savoir comment la vie est. Je ne peux donc pas l’accepter si je ne sais même pas comment elle est. Donc, comment savoir quand je dois m’arrêter de me battre ? Peut-être que j’ai arrêté le combat trop tôt, peut-être trop tard, je ne le saurai jamais.

      Si une personne fonce à 2000km vers sa passion et réussit, on dira qu’elle a persévéré. Si cette même personne échoue, on dira qu’elle s’est entêtée. Facile de juger cette personne extérieurement quand le résultat est tombé, moins facile de le vivre.

      Bien sûr que j’ai compris le définition théorique du lâcher-prise : Persévérer mais ne pas se borner ou s’entêter. Savoir laisser les poids inutiles sur le bord de notre chemin. Savoir accepter l’incontrôlable. C’est franchement pas la définition la plus complexe à comprendre 🙂

      Le problème, c’est que cette définition n’a aucun pragmatisme. A posteriori, on saura toujours ce que l’on devait faire, mais malheureusement pas dans le feu de l’action. Ce qui me pose problème, c’est la définition pragmatique, au jour le jour, du lâcher-prise. Ce que je ne comprends pas et que je rejette, c’est son mode d’emploi.

      Dans ce doute durant l’action, je préfère avoir une intention de tenir-prise que de lâcher-prise. Ainsi, mes faiblesses émotionnelles ne prendront pas le dessus et ne me pousseront pas à l’abandon.

      « Mère Teresa, justement, est l’exemple du lâcher-prise car elle croyait profondément en Dieu. Elle s’est battue en se disant que c’était sa mission de vie et si elle a réussi, c’est certainement aussi car elle s’est battue main dans la main avec Dieu, qui l’a guidée sur son chemin. »

      Si l’on croit à Dieu, en effet. Si on ne croit pas à Dieu, alors, elle s’est battue avec la force de ses idéaux et de ses valeurs. Etant donné que je suis du second groupe, je considère qu’elle a tenu-prise là où beaucoup de gens auraient « acceptés » cette triste réalité parce qu' »on peut rien n’y faire… ».

      « Car vouloir tout contrôler dans sa vie, c’est illusoire, c’est fatiguant et c’est la recette de l’échec. Tu dis « oui j’ai envie que les gens m’apprécient », désolée mais quand j’entend ça, j’ai beaucoup de compassion pour toi car il est impossible d’être aimé par tout le monde et c’est un peu dommage d’en avoir envie. Etre aimé fait partie des choses qu’on ne peut contrôler ; car c’est une conséquence, ça vient à nous en fonction de qui nous sommes et ça ne vient jamais totalement à nous. Chacun est différent, chaque personne sera perçue d’une autre façon car chaque personne sera regardée par les autres avec leurs yeux. »

      Tout d’abord, je n’ai pas dit que je voulais être aimé de TOUT le monde. Je suis tout à fait conscient qu’on ne puisse faire l’unanimité. Je pense que oui, être aimé fait totalement partie des choses qu’on peut contrôler (à plus ou moins grande échelle). L’amour est un sentiment qui peut être généré par des sources extérieures, inutile de la charger d’une puissance céleste.

      Une personne qui m’affirme qu’elle ne désire pas être appréciée des autres ne me semblera pas honnête ni sincère. Beaucoup de gens affirment ne pas avoir besoin des autres, mais peu (voire probablement personne) est réellement dans cette situation. J’en reviens au commentaire de Florence (sur mon blog), cela me semble aussi être du folklore ésotérique.

      Merci encore pour ta réponse,

      Christopher

      1. Juste un détail.

        Pauline, je ne critique de loin pas ton travail.

        J’aime lancé des avis certaines fois un peu extrême comme « rejeter totalement le lâcher-prise » pour ouvrir un débat intéressant.

        Je suis conscient que les choses sont toujours nuancées et bien plus subtile en réalité. Une vision manichéenne est selon moi souvent une vision peu intelligente.

        Dans tous les cas, j’apprécie beaucoup ton travail et je dissocie entièrement la personne du débat.

        Je tiens à préciser cela, car je ne veux pas être le vieux type amer qui critique tout. Je pense juste que faire bouger des rochers qui de prime abord semblent indétrônables nous permet certaines fois de trouver de nouveaux trésors dessous.

        A très bientôt et au plaisir de te relire,

        Christopher

        1. Merci Christopher pour ta réponse qui montre que tu acceptes « la critique », une belle qualité ;).

          Je comprend mieux ta démarche, le fait que tu ai été tranché pour faire réagir.. Et ça a marché à ce que je vois. Mais ce que je trouve un peu dommage, c’est que tu tiens un blog de développement personnel qui semble avoir beaucoup de lecteurs et que du coup, certaines personnes prennent certainement tes conseils au pied de la lettre pour les appliquer dans leur vie. Tu as donc une très grande responsabilité car en conseillant à tes lecteurs de toujours tenir prise, ça peut ne pas être adapté à certaines situations et peut être les mener dans une mauvaise direction : Joanna par exemple dans son commentaire dit « Pour ma part, la situation à laquelle j’ai été confrontée est la maladie: j’ai tenté moi aussi cette forme de « tenir-prise » qui n’a en réalité, fait qu’aggraver mon cas. « .
          Donc voilà je me sentais dans le devoir de te dire ce que je pensais et surtout d’attirer ton attention sur le fait que tu as un impact sur les gens à travers ton blog et que du coup, j’aurais tendance à penser que tu dois en être le plus digne possible en essayant de peser tes mots. Je n’ai pas lu tous les autres articles mais j’ai bien conscience que cet article est particulièrement tranché et que quand tu parles des bénéfices de la douche froide ou la plongée, ce sont que des très bons conseils et réflexions que tu donnes. Mais bon, évidemment tu es libre, c’est juste mon ressenti par rapport à cet article.

          Je suis d’accord avec le fait que c’est difficile de juger quand il faut lâcher prise ou tenir prise. Pour moi, il faut le « sentir » (avec son coeur, son intuition) et ça, ça n’a rien de rationnel, c’est même un peu mystique. Et c’est difficile de donner un avis tranché aux gens car malheureusement ou heureusement, chaque personne est seule dans son corps et doit sentir ce qui est bon pour elle dans une situation donnée.

          Et par rapport au fait d’être aimé des autres, je pense que ce qui compte pour moi par exemple, c’est être aimée des gens qui me sont proches et qui comptent. ça ne me dérange pas de ne pas être aimée des autres. Je n’ai jamais été dans le cas où personne ne m’aimait mais voilà je pense qu’on est dans une société où on gaspille peut être trop d’énergie à être aimé et du coup, on en a moins pour se concentrer sur ses objectifs et son bonheur à nous. Je pense avoir besoin des autres, évidemment, mais quelques amis peuvent me suffire. Mais je pense surtout qu’être aimé ne peut vraiment se travailler car c’est aussi une histoire d’affinité, de feeling, il y a une part d’irrationnel…

          Merci pour cette discussion stimulante et bonne continuation

  3. Merci pour votre article et intervention.

    Juste, Je ne partage pas votre utilisation du terme se battre. Lorsqu’on se bat il y a toujours un perdant. Peut être si nous nous aimons suffisamment et portons une présence bienveillante nous pouvons aider d’autres personnes vers le chemin de l’amour intérieur pour soi et envers les autres.

    En tous cas ce soir, j’avais besoin de ce rappel et de cette intention. Bien à vous.

    1. Merci Sungreen pour ta remarque. J’entend « persévérer » par se battre, mais tu as raison, c est un peu mal dit 😉
      Bien à toi

  4. Comment fait-on pour lâcher prise quand notre conjoint tente de contacter (et prends contact) avec d’autres femmes??? J’ai essayé de comprendre comment je peux lâcher prise mais je ne comprends pas…

    1. Bonjour Etoile,
      Il n’y a pas de solution miracle et « la solution est en toi » mais je peux te donner mon humble avis. J’espère que tu ne m’en voudra pas d’essayer d’être le plus franche et honnête possible.
      Si ton conjoint tente de contacter et contacte d’autres femmes (pour une aventure extra conjugale j’imagine), lâcher prise dans ta situation pourrait signifier ne pas lui en empêcher et le laisser être libre de ses actions et toi tu peux en tirer les conclusions sur qui il est vraiment et qui vous êtes l’un pour l’autre en tant que coupe (la conclusion serait de se redonner une chance ou de tout arrêter). La Vie nous a donné le libre arbitre, l’homme est entièrement libre de faire tout ce qu’il veut, le bien comme le mal. Donc si ton conjoint tente de contacter d’autres femmes, dis lui que tu as vu qu’il les contactaient, demande lui ce qu’il cherche en les contactant exactement et essaye de comprendre les raisons de cet acte (c’est à dire la source de ce qui ne va pas entre vous, car tromper son conjoint est très souvent lié à des problèmes qui existent déjà dans le couple, parfois depuis longtemps), puis discute avec lui pour voir si vous pensez que vos difficultés peuvent être réglées. Et en fonction de ça, tires en des conclusions. Ces conclusions peuvent être que vous avez envie de tout faire pour relancer votre couple (mais si c’est ça, alors il est sensé s’engager à ne plus aller voir d’autres femmes). Ces conclusions peuvent aussi être que toi tu vas décider que tu as de la valeur et de la dignité et que tu ne tolères pas que ton conjoint ailles voir d’autres femmes et que même si tu l’aimes, tu préfères te séparer de lui car tu te respectes et que tu estimes qu’il te manque de respect. Pour cette dernière conclusion (qui est certes, difficile à mettre en place), l’idée est de lâcher prise en te disant que tu dois renoncer à cette relation qui te fait souffrir et ça consiste à faire confiance en la Vie, faire confiance en le fait que quelqu’un d’autre qui n’ira pas voir ailleurs t’attend certainement quelque part et faire confiance en le fait que tu sera peut-être plus heureuse sans ton conjoint. Ce ne sont que des hypothèses, c’est comme ça que je vois le lâcher prise. Mais évidemment il n’y a rien de facile dans la vie. Faire confiance en la Vie en te disant que ce que tu vis actuellement, même si c’est dur, a du sens pour ton évolution, car il y a une décision à prendre (améliorer ton couple actuel ou y mettre fin). En tout cas je te souhaite beaucoup de courage

      1. Merci beaucoup pour la réponse qui me fait beaucoup réfléchir.. Je dois par contre préciser que mon conjoint ne m’a pas trompé. Il m’a caché des choses: des textos, un souper, mais il me dit que c’est seulement de l’amitié et qu’il me le l’a caché car JE suis jalouse.. Ça fait plus de 15 ans que nous sommes ensemble et je lui ai toujours fait confiance…c’est ça qui blesse le plus… Les mots qu’il utilise avec ses « amies » comme « ma belle x » ou « belle chick  » ou autre, moi ça me blesse profondément et on dirait qu’il ne comprends pas ça. Par 2 fois, il a même downloadé des applications (skype et snapchat) afin de « voir » une parfaite inconnue,et une fille avec qui il jouait à un jeu sur internet! Il explique en disant qu’il est seulement curieux. Depuis 2 semaines, je lui ai caché son cellulaire, et je suis enfin « tranquille « . C’est si facile maintenant de contacter n’importe qui, que ça me lève le coeur. Je ne suis pas fière d’être obligé de lui confisquer son téléphone, mais après plusieurs incidents du genre, je n’en pouvais plus..

  5. Bonjour à tutes et çtus
    il y a une duaité en nouss le conscient qui e,ngrange au quotidiien
    l’incçnscient qui apaprait comme le biliuliothèque de ce que l’on a capté depuis l’enfance et où nouss avons eengr

  6. Bonjour à toutes et à tous
    il y a une dualité en nous entre
    le conscient qui engrange au quotidien, c’est notre vécu conscient
    et
    l’inconscient qui apparait comme la bibliothèque historique de notre vie depuis le début.

    Pour certain(e)s ça a été un fleuve tranquille qui se continue et là il n’y a rien à lâcher

    pour d’auttes cela a été très compliqué et il est plus diffcile de lâcher même avec courageu parce que l’inconscient est plus fort.

    Une aide possible la religion
    j’ai vécu un exemple où le futur marié a perdu accidentellement son futur beau-frère et le mariage a eu lieu la maman du défunt disant c’est dieu qui l’a rappelé à lui il va être heureux auprès de lui.
    Cela m’a impressionné.

    Dans les cas très difficiles il faut aller à l’analyse pas facile mais qui peut tout changer et améliorer.
    Il faut un grand courage au début surtout parce que l’inconscient résiste fort.
    c’est un long parcours qui au bout fait beaucoup de bien et transforme l’être..
    Pour ceux qui ne souffre pas beaucoup il faut qu’il découvre d’où vient le blocage, cela demande des efforts de connaissances de soi mais cela fait du bien et grandi.

    Il y a aussi la relaxation, le drainage lymphatique..
    Je pratique encore [pas assez souvent], la relaxation de jacobson e la marche [2h30] en sous bois le long d’un ruissea le Boulou.

    le reputr au calme dans la nature est agréable.

    EXCELLENT MERCREDI T 0 TOUTES ET 90 TOUS

  7. Bonjour et merci pour votre article..
    J’ai un gros soucis à lâcher prise avec la situation suivante:
    Mon petit fils se laisse influencer par sa mère et me dit des choses méchantes… Il a 15 ans je l’aime beaucoup et c’est très très dur ..comment faire pour lâcher prise pour ne pas me sentir malheureuse
    Merci pour votre réponse

    1. Bonjour Nicky
      Lâcher prise pourrait être d’essayer de changer votre façon d’être par rapport à cette situation.
      Quand quelqu’un est méchant avec nous, on peut avoir tendance à rentrer dans un cercle vicieux où on attire aussi sa méchanceté en l’anticipant, en en ayant peur. Lâcher prise pourrait être d’accepter que votre petit fils est en crise d’adolescence et qu’il a besoin de se révolter et que cela vous tombe dessus (peut être parce qu’il n’ose pas se révolter contre sa mère), accepter que cette négativité provient d’une souffrance (sa souffrance) et essayer d’éprouver de la compassion pour lui, tout en étant ferme et en ne tolérant pas son manque de respect.
      Et surtout, être honnête, lui répondre de façon honnête, sans peur, de façon détachée et en acceptant qu’il est humain, qu’il est dans cette phase de sa vie difficile. En acceptant ces choses, notre état d’être change et ses réactions vont certainement changer également…
      Bon courage

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