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DONNER UN SENS À NOTRE SOUFFRANCE

Nous avons tous connu notre lot de souffrances dans la Vie. Peut-être certains d’entre vous sont-ils encore dans cet état de souffrance qui les habite depuis plusieurs mois, voire plusieurs années.

Lorsque cette souffrance est causée par le départ d’un être cher, nous avons l’impression qu’elle ne cessera jamais, que nous devrons apprendre à vivre avec celle-ci.

Avec le temps, sans que nous en soyons conscients, cette souffrance devient même une partie de nous, à un point tel que bien des gens refusent de la laisser partir, même en thérapie, de peur de perdre une partie de leur identité ou de perdre le souvenir de l’être aimé.

Pour arriver à s’en sortir, ou à tout le moins à moins souffrir, il vaut mieux donner un sens à sa souffrance. Chacune a quelque chose à nous apporter, même si ce n’est pas évident au premier abord. Parfois, il nous faut des années avant de pouvoir lui donner un sens. Mais le jour où nous y arrivons, un doux sentiment de paix nous envahit. Parce que donner un sens à ce qui semble ne pas en avoir nous permet d’accueillir ce que la Vie a mis sur notre chemin avec un peu moins de résistance, cette fameuse résistance qui alimente tant notre souffrance.

On peut donner un sens à la plupart des choses que nous vivons en nous demandant ce que cela a changé en nous :

  • Sommes-nous devenus plus compatissants envers la souffrance des autres?
  • Est-ce que cet événement douloureux nous a amenés à revoir nos priorités? Nos valeurs?
  • Avons-nous plus le goût d’aider les autres aux prises avec leur douleur?
  • Quelles qualités avons-nous dû développer pour passer à travers notre épreuve?
  • Sommes-nous devenus plus authentiques, plus simples, plus humains?
  • Avons-nous réorienté notre vie depuis ce temps?
  • Qu’avons-nous compris à travers tout ça?
  • Sommes-nous devenus de meilleures personnes suite à cette souffrance?

Il n’y a pas de remède miracle pour guérir de notre souffrance.

Il n’y a que l’amour de soi, le temps et le sens que nous pouvons y donner.

Et vous? Quel sens pouvez-vous donner à votre souffrance, passée ou présente?

 

Le livre, Apprendre à s’aimer, aussi en version numérique

Retrouvez Diane sur son site ou sur Facebook

10 thoughts on “DONNER UN SENS À NOTRE SOUFFRANCE”

  1. totalement d’accord avec vous, je me dis toujours il faut au premier lieu accepter notre souffrance et de la laisser aller, car par le temps on y s’habitue et on ne peut guère la délaisser, il en a des personnes qui se jouit de leur tristesse et ça leur manque des fois. ça demande vraiment une connaissance de cause et prise de conscience de nos états émotionnelles.
    et merci pour votre article.

  2. on ne doit pas se concentrer sur ce qui nous blesse mais sur ce qui nous aide à nous construire, les expériences de la vie nous aident à devenir ce que nous sommes destinés à être, dieu eu c q ça pas facile, j’élève trois garçons, mon nouveau compagnons s’en sort plus q bien, je me suis accrochée à la télé pendant des années en pensant q c t la seule chose qui me raccrochait a la vie, qui me gardait <>, je n’étais plus moi même, j’étais comme un robot qui ne ressentais plus rien et puis je suis tombée amoureuse à nouveau, g rappris à aimer, à désirer, alors me q je pensais être anormale, g ressenti à nouveau ce que c t que d’aimer et de désirer une personne c’pas toujours facile de se sentir différent des autres de n’avoir personne avec qui en parler, surtout quand la vie nous enseigne à ne plus faire confiance a personne pour éviter de souffrir

  3. Je cherche depuis de nombreuses années à mettre un nom sur cette souffrance. Elle détruit ma vie depuis longtemps, et je ne comprends pas, je ne sais pas comment l’enrayer, même dans les moments heureux elle est là…

  4. Fayard, sais-tu d’où vient cette souffrance ? De quand elle date à peu près ? A quoi penses-tu en particulier ? As-tu un manque particulier ?

    En as-tu déjà parlé à quelqu’un ?

    Lamia – Sep’Possible

  5. Elle vient sûrement de mon enfance, malgré que j’ai fini par tourner la page. Elle a toujours été présente il me semble. Les pensées sont tellement multiples que c’est dur de les citer. J’ai souvent le sentiment que l’on ne m’aime pas. Je souffre du manque d’intérêt, je doute beaucoup de moi. je pense à mes ruptures sentimentales… J’ai besoin des autres, mais en même temps je fais tout pour m’isoler. Souvent dans ces moments de tristesse, je pense à mourir, sans avoir l’intention de me supprimer, car tout en étant parfois abattue, je suis forte, j’ai toujours surmonté les épreuves. J’avais démarré une thérapie, il y a longtemps, je n’ai pas pu continuer car c’est onéreux et non remboursé. Mais une chose qui m’avait fait du bien, c’est que le thérapeute, avait reconnu qu’il y avait de quoi être mal et qu’en effet j’étais forte pour avoir supporté tout cela. Ceci dit, je n’ai pas trouvé la solution pour que le bien-être soit là, et que ma tête cesse de se poser mille et une question.

  6. Mais est-ce de la souffrance volontaire ? On peut décider d’aller bien ou mal pour 80% des situations ! Vous avez encore cette liberté de choisir comment analyser cette souffrance ? Vous pouvez décidez que ce soit une montagne à franchir ou un mur impossible à traverser.

    réfléchissez bien à votre conception là-dessus

    Nina
    http://www.boostermavie.com

  7. Merci pour cet article précieux Diane. Le fait de pouvoir donner un sens à sa souffrance la transforme, à la façon des alchimiste qui font de l’or à partir du plomb 🙂 Finalement, changer son état émotionnel part du fait de changer son point de vue sur les expériences que nous vivons. On peut toujours voir le verre à moitié plein ou à moitié vide 🙂 Belle journée à vous et à tous ! Laure

  8. Pardonner pour être pardonné! Avoir la foi pour retrouver confiance en soi? J’ai oublié mes gammes. Ou me suis égaré? Me suis-je arrêté quelques part? Ou me suis-je fait tout simplement débarqué? Survivre au présent tout en ayant peur du futur? Demain sera un autre jour, oui mais que me réserve après demain? Courage…
    — perplexe.
    L’AMITIÉ VIRTUELLLE
    Quitter son pays 10 pour raisons professionnelles, c’est parfois un devoir, un honneur. Mais c’est aussi perdre ses amis et toute la socialisation qui va avec! A quoi ça sert un téléphone qui ne sonne jamais! Un GSM qui ne murmure jamais? ? L’amitié virtuelle c’est bien mais ça ne remplacera jamais l’amitié naturelle! Pas facile d’aller prendre un verre ensemble via un clavier? Au. Fait, si vous croisez mes enfants, dites leur que je pense beaucoup a eux! Au moins moi, je ne les oublie pas ?

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