Il y a 30 ans, un grand rêve m’habitait: aller étudier la psychologie du développement du plein potentiel humain à Palo Alto en Californie. Ça me semblait presqu’impossible à l’époque.
Je parlais à peine l’anglais. Je travaillais à temps plein. Mes enfants avaient entre 4 et 13 ans. Je n’avais pas les moyens financiers nécessaires. J’avais de très bonnes excuses pour laisser tomber.
Pourtant, sept ans plus tard, ce rêve est devenu réalité ! Mes enfants ont grandi et ce fut plus facile de partir. J’ai pris une année sabbatique pour me consacrer à ces études. J’ai perfectionné mon anglais en suivant mon cours. Et j’ai trouvé le moyen de me débrouiller côté financier.
Aide-toi et le ciel t’aidera! Quand nous avons un grand rêve, nous mettons en marche une énergie puissante.
Le succès instantané est chose rare. Il vient habituellement avec la persévérance nourrie par un grand élan intérieur. Cela donne du courage pour passer au travers des obstacles et des difficultés.
Pour moi, ces études, c’était plus qu’un but à atteindre, cela faisait partie de ma mission de vie. J’en avais besoin pour apporter les changements que je sentais devoir apporter dans mon milieu de travail et dans ma vie. J’avais la conviction profonde que j’y trouverais des réponses à mes questions. Je sais maintenant que j’avais raison mais il y a trente ans, cela paraissait insensé!
Avoir un rêve, c’est très stimulant et beaucoup plus motivant qu’avoir un simple but. Beaucoup de gens ont des buts qu’ils abandonnent quand trop d’obstacles surviennent. Un rêve, ça donne de l’audace et des ailes.
Pourquoi Gandhi, mère Teresa et Martin Luther King ne se sont-ils pas laissé décourager par les obstacles? Parce qu’ils étaient stimulés de l’intérieur à apporter leur contribution unique dans le monde.
Quel est votre rêve? Vouloir changer d’emploi, vouloir atteindre un certain niveau de revenu, regagner votre poids idéal, ce sont des buts. Vous pouvez les transformer en rêve. Il suffit de vous poser la question: « Pourquoi je veux cela? Quel motif profond pourrait m’inspirer et me donner le courage de faire ce qu’il faut? »
Par exemple :
- « Je veux un emploi qui va me permettre de mieux subvenir aux besoins de ma famille. »
- « Je veux démarrer cette entreprise qui correspond à mes talents et compétences et va me donner plus de liberté. »
- « Je veux retrouver et conserver mon poids idéal parce que je veux être en forme longtemps pour rendre le service que je peux rendre dans le monde ! »
Pensez à une de vos réussites. Elle a sûrement commencé par un rêve. Un rêve, c’est une vision assez inspirante pour que vous vous sentiez léger et joyeux de vous mettre en action. Vous êtes alors propulsé vers la cible que votre cœur et votre âme ont choisie. Cela vous motive et vous assure de persévérer.
Vous êtes beaucoup plus puissant que vous ne le pensez! Et vous avez le droit de vous entourer de personnes qui croient en vous et vous encouragent à réaliser vos rêves!
Bonne route vers votre étoile!
Aline Tardif
Merci pour vos messages inspirants !
Heureuse que cela vous inspire Richard!
Mon reve c’est avoir mon BAC avec mention et faire la medecine inchAllah et mes parents seront fiers de moi…
Garder votre rêve bien vivant en vous va vous aider à persévérer peu importe ce qui arrive! Bonne route vers votre réussite!
Merci pour cet article très inspirant.
Je continue a rever et a me battre pour realiser mes aspirations avec audace.
Félicitations Patricia! Le monde a énormément besoin de femmes courageuses, hardies et audacieuse! Je suis de tout coeur avec vous!
Nous sommes tous différents et nous avons tous des rêves différents, même s’il parait commun ce n’est pas vrai.
J’en parle d’ailleurs dans un de mes articles :
http://boostermavie.com/comment-atteindre-efficacement-mes-reves/
Bien sûr Nina! Ce serait vraiment dommage de ne pas se donner le droit à l’authenticité en ayant peur de déplaire parce que nous sommes différentes.
Bon succès!
Mon rêve est d’avoir un compagnon qui m’aime et qui me rende heureuse.
Chère Abikzir,
Partager votre rêve est déjà une action dans la bonne direction. J’ai le goût de vous confier un petit secret: dès maintenant, soyez heureuse, heureuse de la belle personne que vous êtes, heureuse de ce coeur qui bat, heureuse et reconnaissante pour tout ce qui vous entoure et tout ce que vous avez déjà… Ainsi, vous irradiez une énergie joyeuse que votre compagnon pourra partager.
Souvenez-vous le bonheur se trouve à l’intérieur. Les autres peuvent le partager, mais c’est à soi-même de l’intensifier!
Mes meilleures pensées vous accompagnent dans votre recherche du compagnon avec qui partager le meilleur de vous-même!
Bonjour et merci. Visualiser que l’on vit déjà ce que l’on rêve, vous en pensez quoi Aline?
Merci Aline, pour cette pensée sur le bonheur que je confirm être une philosophie ou une attitude saine et équilibrée. Quand nous en saisissons l’essence même et que nous l’intégrons nos vies changent et nos relations. Arrêter d’attendre que les autres nourrissent notre bonheur. Nous sommes les seuls à connaître nos besoins et nous avons la responsabilité de les exprimer. L’autres n’est pas devin et ne peut être responsable de nous mourir.
Merci aussi pour cette article. Aujourd’hui j’avais besoin de lire sur ce sujet. J’arrive de marché et je suis entrée dans une Boutique qui correspond à mon rêve. Qui l’a nourrit aussi. Provoqué comme un coup de foudre. Le proprio après 10 ans veut arrêter, se faire opérer pour le cœur et entrée en Europe se reposer. Il a un autre rêve plus près de son bonheur avec sa femme. Juste continuer sa passion one By one. C’est le genre de timing qui nous dit: est ce que je passe mon tour encore une fois ? Comment vais-je surmonter tous les obstacles qui m’empêchent de réaliser que je peux être autonome et seule responsable de ma passion …
Merci!!!!!
Je sent que mon mari pense a quelqu’n dans son coeur. Parceque entre. Nous pas des feelling pas des vibration pas d’attraction. Sa mes rendemalheureuse.
Je lis le mot « mission de vie » et ça m’interpelle…
J’ai 56 ans, à 16 ans je me suis assigné une « mission sacrée », je voulais faire de la musique, mais pas n’importe quelle musique. Je voulais suivre Christian Vander ( Magma ) car je suis compositeur et pour la première fois de ma vie, je tombais sur une musique qui me bouleversait, qui dépassait le cadre de la musique. Pour moi, c’était un engagement spirituel, une foi.
Mais si je suis fait pour composer, je ne suis pas doué pour jouer. Et puis, l
Désolé, j’ai validé mon message alors que pas fini. Vous supprimerez… Merci. Je disais donc :
Je lis le mot « mission de vie » et ça m’interpelle…
J’ai 56 ans, à 16 ans je me suis assigné une « mission sacrée », je voulais faire de la musique, mais pas n’importe quelle musique. Je voulais suivre Christian Vander ( Magma ) car je suis compositeur et pour la première fois de ma vie, je tombais sur une musique qui me bouleversait, qui dépassait le cadre de la musique. Pour moi, c’était un engagement spirituel, une foi, c’était religieux et ça passait par la musique, mais la musique était un support pour exprimer cette passion, cette foi.
Mais si je suis fait pour composer, je ne suis pas doué pour jouer. Et puis, la musique est une affaire complexe et souvent, la notion de rentabilité fait que les musiciens ne se consacrent pas à des musiques trop… étranges, ils savent qu’avec ça, ils ne passeront nulle part.
J’ai mis très longtemps à comprendre que je ne pourrais jamais accomplir cette mission sacrée. J’étais persuadé que je le ferais, qu’il ne pouvait en être autrement. Après 4 décennies, quand j’ai enfin tiré les leçons de mes déceptions, que j’ai enfin compris, je me suis effondré. Cela constituait, fondait, après tout, mon identité, le sens de ma vie.
A présent, je remonte la pente doucement, et je m’autorise à faire des choses non pas engagées, dictées par un sens du devoir, mais des choses pour moi. La musique, je ne sais pas si j’y ai renoncé, si je continuerai mais dans mon coin, etc. Aucune idée. Mais, ayant compris que j’ai failli à cette mission, le vivant assez mal, je m’efforce toutefois de rester éveillé, de ne pas cultiver le sentiment de dépression que cela suscite. Et de faire des choses plus abordables. Récemment, je me suis autorisé à refaire de la moto, on m’en avait prêté une pendant une semaine quand j’avais 18 ans, j’avais adoré ça, eh bien j’ai fini par en acheter une. J’ai eu récemment l’impulsion, l’envie, d’adopter un petit lapin, eh bien je l’ai fait, et mon petit compagnon est mignon comme tout, je le prends dans les bras, je le caresse et ça me fait du bien, je ne saurais expliquer. Le sentiment d’avoir loupé le coche prédomine, mais j’essaie d’être plus… égoïste ? Avant, je voulais délivrer aux autres quelque chose que je trouvais très important, je me rends compte que la majorité des gens s’en fiche, que pour elle, la musique c’est ce qui sort de la télé ou la radio ( ou autres supports plus récents ) quand on tourne le bouton, pas plus. Finalement, c’était en quelque sorte jeter de la confiture aux cochons. Perdre du temps pour avoir très peu d’estime ou de respect en retour. Et si encore j’avais pu jouer cette musique, quitte à rester entre copains, à la jouer dans un garage ou l’enregistrer sur mon ordinateur. Mais non, pas moyen de trouver des acolytes pour une mission si ingrate. Donc, il faut passer à autre chose. J’ai la chance d’être écrivain ( mais jamais je m’étais dit « plus tard, je serai écrivain », ça ne correspondait à aucun rêve ni fantasme. Je suis plasticien, je travaille la céramique, je peins numériquement… Je fais des choses intéressantes mais après avoir tellement cru à ma « mission », après avoir eu une foi à soulever l’Himalaya, je me rends compte que croire ne suffit pas, la preuve. Et donc je me méfie de ma foi, de mes croyances, de ma capacité à m’auto-illusionner. Du coup, je me dis que même mes romans, mes sculptures ou peintures numériques, si ça se trouve, personne ne leur prêtera l’attention que ces créations méritent. Alors certes, on trouve du plaisir à faire les choses pour soi. Mais quand on fait des choses très élaborées, complexes, le plaisir c’est aussi de pouvoir montrer, partager, s’affirmer en tant que créateur. Et comme le chemin est compliqué, plein de détours, j’en prends d’autres, plus simples, sans enjeux : caresser un lapin, se balader en moto… choses que n’importe qui peut faire. Moi, ce qui m’intéressait, c’était ce que moi seul pouvais faire : personne ne peut écrire comme moi, développer mon univers. Idem pour la peinture, la sculpture, etc. C’est ça, que j’ai à léguer au monde. Mais puisque le monde s’en fout… Je me dis, n’importe comment, le monde oubliera, tu seras balayé, dans quelques décennies ton nom sera perdu, tes créations aussi… Alors je vis au quotidien et non plus tourné vers le futur, je n’en attends plus rien, j’essaie de faire des choses qui me rapportent un plaisir immédiat : arranger ma maison, marcher au bord de mer, rouler en moto, prendre un animal contre moi…
Voilà. La mission de vie, ça peut aussi faire très mal. Et croire, eh bien ça ne suffit pas. On peut très bien y croire dur comme fer, être persuadé de ceci ou cela, et pour autant, foncer, au ralenti, droit dans un mur. C’était mon témoignage.
Bonsoir John, Je suis pianiste compositeur, auteur et interprète…peintre… Créatrice en Arts… Si vous souhaitez me montrer vos créations sonores, on pourra, qui sait, réaliser un événement artistique ou un partage entre artiste et le faire découvrir tout autour, à un plus grand nombre! Vous pouvez m’écrire à mireilleaureline@hotmail.fr je suis également professeur de piano
je voudrais savoir la solution est ce le titre d’un livre?
la solution en vous est ce le titre un livre?
franchement ces des histoirs
et ces paroles en or merci