Avez-vous déjà désiré faire plus d’argent? Cela semble une question ridicule puisque la réponse est évidente. À peu près tout le monde souhaite faire plus d’argent.
Pourtant plusieurs d’entre nous limitons les entrées d’argent en considérant l’argent comme un ennemi plutôt que comme un ami. Nous nous battons avec l’argent et entretenons des pensées conflictuelles à son sujet.
D’un côté nous souhaitons en faire plus et en avoir plus, d’un autre côté, nous nous sentons coupables à la pensée d’être trop matérialistes.
Les commentaires désobligeants, les croyances négatives qui circulent encore au sujet des personnes qui font de l’argent et certaines réactions des proches viennent aussi confirmer nos propres doutes et nos peurs et détériorer notre relation à l’argent.
Pourtant l’argent est neutre. Il n’est ni bon ni mauvais. C’est simplement un outil, une ressource, une énergie.
Le désir de faire de l’argent est sain. Avoir toutes les ressources dont vous avez besoin pour vivre pleinement, librement et agréablement et pour bien vous occuper de ceux que vous aimez est votre droit de naissance.
La pauvreté n’est pas une vertu. C’est une condition que nous pouvons tous contribuer à changer. Et ça commence par le changement de notre relation à l’argent.
Transformer cette condition nous invite, individuellement et collectivement, à changer une croyance pernicieuse : la croyance qu’il n’y a pas assez. Autrement dit, la croyance dans le manque.
Personne n’est pauvre parce que c’est sa nature ou parce qu’il n’y a pas assez. Il y aura toujours de tout en abondance dans l’univers. Pourtant la croyance dans le manque est généralisée.
C’est la peur du manque qui a causé et continue de causer toutes les iniquités et la mauvaise répartition de la richesse dans le monde. Pourquoi? Parce que cette peur nous met dans un état d’insécurité qui nous porte, sur le plan personnel, à accumuler des biens et, sur un plan collectif, à s’accaparer et à défendre des biens et des territoires.
Des souffrances, des conflits et des guerres en résultent.
Pour faire cesser les effets malsains de la peur du manque, il est urgent que nous établissions une relation de confiance dans le fait qu’il y a assez. Ainsi, nous pourrons nous ouvrir à accueillir la richesse dans notre propre vie et faire circuler nos surplus pour le mieux-être de tous.
Passer de la peur du manque à la confiance qu’il y a et y aura toujours assez contribue à améliorer notre relation à l’argent ainsi que nos relations interpersonnelles et même nos relations internationales.
Vous pouvez douter de votre pouvoir à changer les choses sur le plan mondial cependant, vous avez du pouvoir sur votre propre manière d’entrer en relation avec l’argent.
Vous pouvez vous ouvrir à recevoir. Vous pouvez utiliser ce dont vous avez besoin pour vivre sainement et agréablement. Vous pouvez faire servir vos avoirs pour votre plus grand bien et pour celui des autres, proches ou éloignés.
Un bon truc pour commencer à changer les choses en ce sens, c’est de focaliser sur l’appréciation.
En premier vient l’appréciation de soi : appréciation de ce que vous êtes, appréciation de ce que vous faites et appréciation de ce que vous avez, incluant l’argent.
L’appréciation augmente la confiance et la confiance fait reculer l’insécurité qui nourrit la peur du manque.
L’appréciation remplace l’habitude de vous juger, de juger les autres, de vous dévaloriser et de minimiser ce que vous possédez. Dans l’appréciation vous cessez de repousser ce que vous aimeriez attirer, soit l’amour et l’appréciation des autres, l’argent, le bonheur…
L’appréciation vous met dans un état d’accueil et d’abondance qui améliore toutes vos relations, y compris votre relation à l’argent.
Je vous souhaite l’abondance!
Aline
« La pauvreté n’est pas une vertu. »
C’est la phrase avec laquelle je ne peux qu’être d’accord. On veut nous faire croire en permanence qu’être pauvre est une vertu, que les pauvres sont gentils, les riches sont méchants (je caricature évidemment).
En réalité, c’est presque souvent l’inverse.
Pauvreté = frustrations = aigri et envieux.
Une fausse croyance qui touche la grande majorité de la population !
Sam
Je suis en désaccord avec cet article. Vivre simplement est une vertu. La pauvreté ne crée pas nécessairement de la frustration. Bien des gens sont riches financièrement et en veulent toujours plus, ne sont jamais rassasiés et se submergent de superflu, là aussi il y a des frustrés, oh que oui!! L’argent n’est pas neutre et ce n’est pas un outil gratuit. Aujourd’hui on est tombés tellement bas par rapport à ça, qu’on peut réussir à se faire de l’argent…sans rien faire…juste en plaçant de l’argent…pffff comment a-t-on pu en arriver là? Trop d’égo, trop de gourmands…? Je n’en sais rien. La seule chose que je sais, c’est qu’il n’y a rien de plus injuste que les gamins qui crèvent de faim et/ou les guerres causées par l’argent qui n’est qu’un outil de pouvoir/ de domination, rien d’autre. Sur cette planète, il n’y a même pas un tiers d’humains qui vivent « décemment », pendant que les autres galèrent comme pas possible, de quel droit? Aucune légitimité à cela.
Tu passes complètement à côté de l’article.
« Bien des gens sont riches financièrement et en veulent toujours plus, ne sont jamais rassasiés et se submergent de superflu, là aussi il y a des frustrés, oh que oui!! »
Ouh le beau préjugé.L’argent ne rend pas mauvais. L’argent amplifie ta personnalité. Si à la base tu es bon, l’argent te rendra meilleur. Si tu es mauvais, l’argent te rendra encore plus mauvais.
« La seule chose que je sais, c’est qu’il n’y a rien de plus injuste que les gamins qui crèvent de faim et/ou les guerres causées par l’argent qui n’est qu’un outil de pouvoir/ de domination, rien d’autre. »
Aucun rapport. Et ce n’est pas en étant bien-pensant que tu vas les aider, les « gamins qui crèvent de faim ». Par contre si tu avais de l’argent, tu pourrais les aider concrètement. Tu comprends ?
Sam
« Ouh le beau préjugé.L’argent ne rend pas mauvais. »
Mais je n’ai jamais dit ça. J’ai juste dit qu’il y avait des frustrés de partout…
« Par contre si tu avais de l’argent, tu pourrais les aider concrètement. Tu comprends ? »
Chacun son point de vu.
L’argent que je pourrais avoir comme tu dis, je préfère qu’il aille là où il y a urgence…vivre la grande précarité n’est pour moi pas justifiable, encore plus quand on observe comment marche ce système.
« Et ce n’est pas en étant bien-pensant »-> Me fous d’être bien-pensant… Pour connaitre quelqu’un j’observe davantage ses actes que j’écoute ses paroles.