Il nous arrive tous toutes sortes de situations difficiles devant lesquelles nous nous sentons pris au dépourvu.
Parfois les émotions prennent toute la place et nous n’arrivons pas à voir la lumière au bout du tunnel. En d’autres moments, c’est la colère qui l’emporte et qui nous fait prendre une décision peut-être impulsive que nous regretterons par la suite. Souvent la peur s’installe devant notre problème et nous paralyse à un point tel que nous ne savons plus quelle décision prendre pour retrouver notre bien-être. Et alors nous restons longtemps bloqués devant ce qui nous apparaît insurmontable. Parfois, le chagrin qui nous envahit n’en finit plus et nous sommes inconsolables, embourbés dans notre souffrance qui semble ne plus avoir de fin.
Quel est le choix que nous pouvons faire maintenant qui réduira notre souffrance ou qui nous rendra le plus heureux?
Devant toute situation, quelle qu’elle soit, nous avons toujours 4 choix qui s’offrent à nous :
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La modifier. Est-ce que nous pouvons changer quelque chose à cette situation? Si oui, comment pouvons-nous nous y prendre? Quelles sont les solutions qui s’offrent à nous pour améliorer ce que nous trouvons difficile actuellement. Pouvons-nous aller chercher de l’aide pour modifier la situation actuelle?
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L’accepter. Accepter ce qui est, ici, maintenant. Composer avec la situation, tenter d’en tirer les avantages ou les apprentissages, faire avec. C’est souvent ce choix que bien des gens trouvent le plus difficile à faire, comme si refuser d’accepter la situation pouvait la faire disparaître. C’est dans l’acceptation de certaines situations terribles que tous les possibles s’offrent à nous.
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Quitter. Si nous ne pouvons pas accepter la situation actuelle, parce qu’elle heurte nos valeurs, parce que la douleur est trop grande, parce que nous ne pouvons nous faire à l’idée; si nous ne pouvons pas l’améliorer, parce que ce n’est pas en notre pouvoir, parce que d’autres personnes sont impliquées et refusent de collaborer, parce que l’effort et le temps nous semblent trop considérables pour donner des résultats, alors l’autre choix qui s’offre à nous est de partir, de quitter cet environnement qui ne nous convient plus, qui nous blesse ou dans lequel nous ne pouvons pas être nous-mêmes. C’est un choix qui demande du courage, mais parfois c’est le seul valable.
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Ne rien faire. Ni accepter, ni tenter de changer quoi que ce soit, ni quitter. Rester dans cette situation et croire que nous sommes une victime, en nous plaignant, en ressassant sans cesse les mêmes scénarios hypothétiques, en demandant conseil partout mais sans agir, en subissant ce qui nous semble insupportable, croyant, à tort, que nous n’y pouvons rien. Certaines personnes sont parfois si convaincues qu’il n’existe aucune solution à leurs problèmes qu’elles vont même refuser toutes celles qui leur sont proposées. Évidemment, ne rien faire est un choix, mais pas une solution.
LE CINQUIÈME CHOIX
Enfin, il existe un cinquième choix insoupçonné mais que nous oublions trop souvent d’utiliser, devant les situations difficiles. Aimer… Oh je sais, plusieurs réagiront en clamant que l’Amour ne peut tout régler, que leur situation est pire et ne peut être résolue par l’Amour. Et pourtant… Le pouvoir de l’Amour est phénoménal!
Lorsque je ne sais vraiment pas lequel des 4 choix précédents je dois prendre, soit parce que la situation me semble désespérée ou que je ne me sens pas en mesure de décider, envoyer de l’amour aux personnes impliquées dans la situation, entourer d’amour la situation et demander à la Vie de m’éclairer m’a toujours permis de trouver la meilleure attitude. Toujours. En envoyant sans cesse de l’amour à la situation, aux autres, à moi, sans projeter de scénarios possibles, juste en me branchant sur l’amour, je débranche ainsi mon ego, mes peurs, ma colère, mon chagrin, mes attentes. En priant l’Univers, je sais qu’une force plus grande que moi éclairera mon chemin. La Vie nous répond toujours. Et elle l’a toujours fait.
Alors, quelle que soit la situation à laquelle nous faisons face, nous avons toujours 5 choix. Ne désespérons jamais, n’abandonnons jamais, parce qu’il existe toujours le meilleur choix pour chacun d’entre nous.
Namasté!
Diane Gagnon
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J’aime beaucoup cet article. J’ai vraiment besoin de positif ces temps-ci.
Merci.
je beaucoup aimé cet article qui nous à donné une conscience forte pour se décider face aux circonstances qui nous arrive jadis dans la vie,mais ce n’est pas du tout facile à se décider lorsque nous sommes face à une situation qui nous plonge dans l’embarras! à mon envie toute décision peut être prise au niveau de notre cerveau,de notre psychologie,de notre morale. nous devons être fort du point de vue spirituelle pour s’en sortir à certaine circonstance de la vie. merci!
vos conseils sont tres utiles pour ceux qui souffrent et qui ne trouvent pas de solutions,une des solutions que vous proposez est le depart,c est de tout quitter, c est celle quej ai voulu mais les conditions financieres sont difficiles pour partir, peut etre faut il prendre ce risque de s en aller et de vivre dans la misere plutot que de continuer a subir un environnement hostile
C’est ce que je faisais avant d’avoir eu une énorme prise de conscience l’an dernier. Je me suis rendu compte que nous faisons tous tout ce que nous pouvons avec les moyens que nous avons. En sachant ça profondément (et je l’ai vu dans une situation personnelle), je n’ai plus à forcer l’amour, ni à l’envoyer, mais lorsque les pensées et jugements s’envolent, tout ce qui reste est compassion et amour inconditionnel, parce que c’est ce que nous sommes.
Nous faisons toujours de meilleurs choix avec notre cœur qu’avec notre tête, et l’amour ouvre la communication avec le cœur et nous guide vers la paix intérieure, vers le meilleur chemin en accord avec nous même.
Merci Diane
Je comprends le message de fonds mais l’article n’est, à mes yeux, pas cohérent sur le dernier point : Aimer c’est un état d’esprit, mais une fois que l’on se met dedans, eh bien on fait quand même l’un des 4 choix offerts, de facto.
Soit on ne fait rien, soit on accepte, soir on quitte, ou on change les choses quand elles dépendent de nous.
C’est avec grand intérêt que j’ai lu l’article.
En tant qu’êtres humains, nous sommes parfois confrontés à des problèmes devant lesquels nous semblons démunis ou incapables d’apporter une solution.
Pourtant, à y voir de près, la clé ou la solution réside en nous, et en nous seuls!
Comment y remédier? Il nous d’abord essayer d’être sereins devant le problème et ne pas céder à la réaction impulsive qui ne fait qu’aggraver le problème. Ensuite, il faut réfléchir sans se précipiter. Puis, peser le pour et le contre, prendre en compte les éléments extérieurs mais importants (les enfants surtout, s’il y’en a!), penser à leur avenir et à ce qu’on leur dira demain, quand ils voudront savoir.
Forts de tous ces éléments, je crois qu’on peut avoir la chance de minorer les dégâts, et éviter de prendre des décisions qui pourraient nous pourrir la vie. La vie est faite de hauts et de bas, il faut donc rester positif en tout temps et refuser de tomber dans le désespoir et l’échec.
Il y’a un proverbe qui dit: « s’aimer ce n’est pas se regarder en face, mais regarder dans la même direction ».
Il faut aussi savoir pardonner, car, qui donne, reçoit!
Et puis, il faut qu’on le sache: quelqu’un, quelque part dans le monde pense à nous malgré le problème et la situation dans laquelle nous sommes. Cette personne souffre de ne pas nous voir, de ne pas nous entendre malgré ce qu’on a vécu et ce qui nous lie, ce trait d’union qu’on appelle ENFANT!
L’Homme est un être de communication; quand il ne communique plus, il disparaît lentement, mais surement…
pour le choix trois on fini par etre seul a force de fuir les gens. non pas que j ai peur detre seul! mais parfois sa peut etre difficile