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LA BLESSURE DE REJET… 7 MOYENS POUR VOUS EN LIBÉRER

Vous avez probablement lu mon récent article intitulé « Êtes-vous affecté par la blessure de rejet ? ». Suite à ça j’ai reçu tellement de témoignages que je me suis empressée de vous écrire la suite via ce nouveau texte, pour aider chacun à passer à l’action en vue de se libérer toujours plus de ce sentiment inconfortable qu’est le rejet.

Ce n’est aucunement un hasard si je suis aujourd’hui conférencière internationale, formatrice en entreprise et auteure de 7 livres sur une multitude de sujets majeurs en lien avec la libération émotionnelle, la santé, les relations affectives, la joie de vivre. Je peux vous dire que si je fais ce métier, c’est suite à mes souffrances qui ont duré tant d’années et que j’ai dû transformer si je voulais survivre. Quand j’écris pour vous, que je fais de la consultation privée, ça me passe par le cœur et je peux vous comprendre.

On a tous été ou nous sommes encore influencés à différents degrés par la blessure de rejet. Que ce soit un refus de qui que ce soit, une séparation, une peur de ne pas être à la hauteur, une critique d’un ami, tout ça vient réveiller cet inconfort qui monte en soi à ce moment là. Le rejet fait partie de la réalité car on vit en interaction les uns les autres. Par contre, il est possible d’en arriver à ne plus prendre les choses personnellement et pouvoir utiliser ces situations pour augmenter notre estime personnelle.

Voici 7 moyens pour vous aider à vous en libérer grandement.

  1. Inutile de se sentir vexé. Tout le monde a le droit de ne pas être d’accord avec soi, d’avoir ses opinions, d’exprimer des ressentis qui peuvent différer des nôtres. Devenez observateur de votre réaction et de celle de l’autre. Cette personne aussi peut s’exprimer à partir de ses blessures. Osez préciser votre point de vue, prendre votre place. Pratiquez-vous à le faire pas à pas au lieu de fuir dans la peine ou la frustration. Évitez de laisser tout ça prendre du pouvoir sur vous. Sinon, c’est comme avoir vécu quelque chose durant deux minutes et le faire durer très longtemps.
  2. Dissociez-vous du rejet. C’est votre opinion, votre projet qui peut être rejeté et non vous personnellement. Inutile de se rejeter soi même en plus. Si une personne veut s’éloigner de vous, ce n’est pas nécessairement dû à vous, mais en rapport avec la situation qui ne lui convient pas. Un « non » provenant de qui que ce soit n’a rien à voir avec votre valeur spécifiquement.
  3. Cessez de fuir. Le mécanisme de défense associé au rejet est la fuite. Donc, devant ce sentiment, il peut arriver qu’on s’isole dans ce temps-là et que du stress, de l’anxiété émergent pour inconsciemment tenter de se protéger, mais ça ne règle rien. Choisissez plutôt de vous sentir bien ancré au présent, amusez-vous, faites quelque chose qui vous suscite du bien-être, qui vous fait sentir vivant, enjoué, relaxe au lieu de ruminer ce qui est déjà passé et fuir dans des scénarios activés par le mental. Ça ne veut aucunement dire de ne pas régler ses problèmes, de ne pas prendre position, mais d’éviter d’amplifier inutilement, générant ainsi des cycles de souffrances multipliés.
  4. Dire non au mal-être. Dans le cas des sentiments difficiles comme le rejet, on demeure trop souvent soumis à l’émotion ou à une autre personne par exemple. Il importe de devenir observateur de ce qui est et agir comme un acteur de changement. La peur de se tromper, d’être jugé, la soumission, gardent l’être comme dans une cage inutilement. Osez faire de nouvelles choses qui optimisent votre confiance et votre estime personnelle et vous éloignerez davantage les situations qui suscitaient ces états limitatifs. Faites-vous aider au besoin par un thérapeute de confiance.
  5. Redéfinir vos perceptions. On vous a refusé une promotion… Au lieu de dire « On m’a exclu de la liste des gens retenus », vous pourriez dire « Ma candidature n’a pas été retenue ». Au lieu de dire « Tel ami m’a rejeté », vous pourriez dire, « Nos chemins se sont séparés pour nous amener à vivre autre chose pour le meilleur des deux en ce moment ». Soyez dissocié de la situation en gardant seulement l’apprentissage et non une charge émotionnelle suractivée par l’analyse, le mental, l’ego. Si ça ne fait pas notre affaire, à nous de nous élever au-dessus de ça de façon positive et constructive, et de nous en servir pour rehausser notre confiance et estime personnelle, car la vie nous fera vivre ici et là de telles situations au fil des ans, on le sait. Vous le savez et le ressentez que le fait de maintenir une basse vibration attirera ce que vous redoutez. S’apitoyer ne fait que favoriser le mal-être et le perpétuer. Il en va aussi de la responsabilité des autres, de changer pour le meilleur bien entendu.
  6. Un signal pour mettre de l’ordre. Il peut être aussi possible d’utiliser certaines situations de rejet comme un indicateur qui nous informe que des changements peuvent être à faire. Imaginez une personne qui se présenterait à une entrevue d’embauche avec une attitude morose, nonchalante… Eh bien l’exemple parle de lui-même. C’est la même chose sur le plan relationnel, etc. Il peut être aussi important de demander le pourquoi de certains refus à votre interlocuteur pour vous aider à mieux vous connaitre et vous aider à améliorer certains points. Gare aux pensées et croyances défaitistes envers vous-même, comme par exemple «  Je ne suis pas à la hauteur », « Cette personne est trop bien pour moi », etc. C’est une forme d’ordre à rétablir que de se trouver de plus en plus une personne merveilleuse qui apprend pas à pas sur la belle route de la vie.
  7. Oser dire non. Prenez position pour cesser de vous rejeter vous-même. Osez le dire si quelque chose ne vous plait pas, ne vous convient pas. Vous évitez ainsi l’accumulation de frustrations ou émotions difficiles et vous protégez vos énergies. En plus, vous pourrez passer à autre chose plus rapidement. Et si un désagrément arrive quand même, prenez du recul, confiez-vous, allez faire une marche dans la nature, faites-vous plaisir, pensez à vous !

Bien que sommaires, ces quelques pistes de réflexions si, appliquées quand c’est nécessaire, peuvent vous aider à trouver davantage de sérénité et augmenter votre joie de vivre. Je vous encourage à innover avec vos propres moyens, actions et inspirations et à choisir le bonheur, la santé, la joie profonde au fil des jours.

C’est avec l’inspiration de mon parcours qui fut si pénible durant tant d’années et bien des formations, que j’ai créé de multiples ressources pour vous aider dès maintenant à vous retrouver, dénouer des états de mal-être, tristesse, soucis, etc. Pour découvrir ce que je peux faire pour vous via la consultation privée par Skype, mes livres, CD ou ressources vidéo et audio, je vous invite à visiter mon site et à vous inscrire à l’infolettre gratuite et me rejoindre dès maintenant sur ma page Facebook

21 thoughts on “LA BLESSURE DE REJET… 7 MOYENS POUR VOUS EN LIBÉRER”

    1. J été dans la même situation que toi le meilleur moyen de s en sortir et de s ouvrir a autre chose a quelqun d autre et surtout ne jamais revenir a la charge ,la personne ta rejeter au diable

  1. Je vit un rejet avec mon ex femme après la séparation je suis aller demander la main d’une autre mais sans plus g rien vécu avec cette dernière puis mon ex est revenue pour essayer d’arranger les choses et tout j’ai commencé à réfléchir et prendre quelques décisions et je lui avais en parler de cette autre que j’ai demandé tout été normal à un moment donné elle a tournée la veste elle me répond plus elle veut plus de moi l’excuse c’est l’autre que j’ai demandé sois disant le je lui écris elle répond pas elle l’ignore totalement … Je sais plus quoi comprendre !!!

  2. Mon ex-mari m’a totalement rejetée et j’en souffre toujours. Il m’a trompée une première et j’ai voulu surmonter, ensuite une deuxième et là encore j’ai voulu aller de l’avant mais très difficilement car il m’en voulait de ne pas vouloir briser notre famille au sein de laquelle il se sentait si malheureux. Il a enfin eu une troisième maîtresse que j’ai appris des mois après (car chaque fois il menait une double-vie)

  3. Ce qui a été très dur pour moi c’est qu’il était plus gentil avec ses femmes qui soi-disant était bien mieux que moi. Ca a zappé tout la confiance en moi qu’il me restait. Je suis allée chez une Spy qui m’a dit que j’étais tombée sur un manipulateur pervers narcissique. Elle m’a fait lire un livre sur les manipulateurs en amour. Ca m’a aidée mais je reste quand même très très mal, je n’ai plus aucune confiance en moi, parfois je me sens aigrie. Je n’étais pourtant pas heureuse avec lui et j’ai pourtant bien du mal à me remettre de mon divorce. J’oubliais de préciser que j’étais dépressive et qu’il ne voulait pas vivre avec une dépressive

  4. La solution que j’ai trouve pour surmonter ma peur du rejet notamment dans les relations amicales est de laisser cette envie de controler ce que les gens pensent de moi; ou leurs perceptions de qui je suis.
    Aussi, il est important de developper l’amour de soi. Et pour ceux qui ont la foi : se rappeler que Dieu aime chacun de nous inconditionnellement.
    Bonne guerison!

  5. Je partage ma vie depuis 23 ans avec un conjoint qui vit avec le rejet depuis son enfance. Cet état des choses imperceptible avant, affecte mon équilibre de plus en plus et brouille ma raison.
    Sauf pour son père; il n’a pas d’amis et il se confie difficilement. C’est un être qui a tous les talents mais la colère l’habite de façon permanente; il est furieux contre la vie qui l’oblige, après 23 ans de stabilité, à se redéfinir.
    Il est lourdement endetté, sans emploi depuis presque 2 ans, gruge ses REER (notre futur) et remet sans cesse à plus tard toute action comme la rédaction d’un CV, qui le mettrait en contact avec tout type de solution/emploi/personne pour le sortirait de son isolement.
    Bref il est tétanisé à la pensée de demander et possiblement (dans son vocabulaire c’est certainement) essuyer un refus.
    Je suis déstabilisé et je ne sais vers quoi me tourner, bref je perds lentement la raison et plus rien n’est clair dans ma tête. Je fais quoi pour l’aider, pour nous aider?

  6. Normand, je comprends votre désaroi pour avoir vécu moi-même une situation similaire il y a quelques années. La seule différence a été que mon ami est devenu alcoolique pour compenser so manque d’estime et de confiance en lui. C’est dur à dire, mais vous ne pouvez pas l’aider directement. La seule chose qui pourrait le sortir de sa léthargie serait qu’il prenne conscience qu’il doit se faite aider par un professionnel pour guérir ses blessures. Tant que vous essaierez de l’aider vous lui servez de « béquilles ». C’est sans doute en changeant votre comportement à son égard qu’il sentira la nécessité de changer lui-même. Je ne vous dis pas de le laisser bien entendu, mais pensez d’abord à VOUS MEME; Faites des choses qui vous font plaisir, relaxez-vous, voyez des amis positifs avec qui vous parlerez d’autre chose que de votre ami. Allez voir un professionnel vous même pour déverser cette souffrance. Les personnes comme votre ami sont « énergivores » pour leurs proches et cela ne les aide pas plus. Vous ne pouvez pas agir à sa place et faire son bonheur malgré lui. C’est en prenant du recul et en assurant votre propre stabilité émotionnelle que les choses bougeront. Croyez moi, c’est possible, je l’ai vécu.
    Je vous souhaite bon courage Normand et je vous envoie plein d’ondes positives.
    Jocelyne

    1. Bonsoir Jocelyne

      Merci d’avoir pris le temps de me lire et d’avoir eu la générosité de me conseiller sur mes questionnements.
      J’ai commencé depuis quelques temps à me faire plaisir comme vous me le suggérez. J’assume mes choix. Si ces sorties valent tous les moments qui n’appartiennent qu’à moi je trouve quand même ça difficile et un peu culpabilisant.
      Nous avons tous deux vu des « professionnels » chacun de notre côté. La prochaine étape sera d’en rencontrer un pour notre couple en pleine tourmente. Pas simple de voir son conjoint pleurer de désespoir, de peur devant l’incertain, de s’avouer impuissant et ne plus savoir comment le rassurer.

      1. Bonjour Normand,
        C est tout à votre honneur de vouloir aider votre conjoint. Mais porter tout ça sur vos seules épaules c est destructeur. J ai a priori une histoire ressemblante à celle de Jocelyne. Mon ancien compagnon avait des pb d alcool j ai toujours voulu l aider en pensant que c était une maladie et que qq part c était involontaire, j ai énormément souffert de cette situation : pour moi en tant que femme pour mon couple pour mes enfants qui subissaient un cadre familial vraiment pas terrible pour mon impuissance face à la situation. J ai trouvé de l aide sur un forum qui expliquait que ce besoin d aider m avait plongé en codependance je n avais plus de goût pour rien et souffrais de le voir mal. Ce n est plus enervigore ça peut devenir vraiment destructeur. Il faut savoir qu on ne peut pas aider les autres si on n est pas bien soi même. Ne culpabilisez pas de prendre du temps pour vous et de vous fixer des objectifs et projets personnels. Son mieux être ne peut venir que de sa prise de conscience et du travail qu’il fera sur lui. J ai lu énormément, en développement et psy, certains concepts ou idées que je connaissais depuis longtemps on pris un jour tout leur sens. Il m a fallu 5 ans et avoir perdu 9kg pour comprendre que je me noyais avec lui. 2 choses ont fait basculer ma vie : on m a dit que mon conjoint avait de la chance de m avoir alors qu’il me faisait porter la responsabilité de ses problèmes, et mon médecin qui m a dit que ce n était pas égoïste de quitter qq qui a des problèmes. Votre priorité devrait être de prendre soin de vous, d avancer dans la vie d abord pour vous, ça ne veut pas dire être indifférente à ses problèmes mais simplement vous en protéger avant de vous perdre et d avoir à vous reconstruire vous aussi. On ne peut pas aider les autres mais simplement les accompagner les soutenir quand ils ont fait leurs choix et entamé de actions dans ce sens! Beaucoup de courage à vous gardez votre flamme intérieure

  7. Ma petite fille de 15 ans ne me calcule plus!!!!!Je ne l’interresse pas.j’ai quitté mon pays d’adoption pour me rapprocher d’eux,je regrette!!!!Je vais enfin faire ma vie pour moi et non pour tout le monde.J’en souffre enormement.Ma belle fille ne voulais pas qu’il soit proche de moi c’est chose faite.Que de souffrances dans cette vie!!!

    1. Je vis le rejet de ma petite fille et je suis enragée, triste, anxieuse et j’en veux et n’ai pas confiance en personne, j’ai mal, je veux mourir, j’ai 77ans et plus rien à apporter à personne, les pilules aident pas, je songe à prendre du canaris pour enlever ma douleur. Je cherche à ne plus avoir mal

    1. J’espère quand même que vous répondez aux gens qui semblent être dans une profonde détresse et qui osent l’exprimer.
      Il n’y a pas que le profit, dans la vie, chacun a droit à sa part de bonheur.

  8. Bel article. La blessure de rejet est celle qui fait le plus souffrir d’après moi. Lise Bourbeau en parle d’ailleurs très bien aussi.
    Déja comprendre que, comme vous dites, un non ne signifie pas le rejet de notre être peut dédramatiser

  9. La Vérité est au coeur de chacun de nous. J’ai pu me désensibiliser de cette blessure de rejet le jour où j’ai compris à quel événement elle était due et que j’avais en fait mal interprété pendant des années. Cette blessure créait des scénarios pour m’aider à identifier le « mal », l’incompréhension.
    Je m’explique, ma mère avait des conditionnements dans sa famille au niveau de l’éducation. Il ne fallait pas trop être proche de son bébé quand on devenait mère. Cela afin qu’il ne noue pas de trop forts liens d’attachement et que la séparation ne soit pas trop difficile. Etait-ce monnaie courante à une époque? Peut-être. J’ai vécu toute ma vie avec une enfant intérieure en carence affective qui pensait que sa mère ne l’aimait pas à cause de cette distance qu’il y avait entre nous dès ma naissance. Finalement, j’ai compris, au travers d’une situation de vie dans laquelle on m’a rejeté sans m’avoir dit pourquoi, que elle n’avait fait que reproduire ce qu’elle avait appris et cru bon de faire. Et ma rancoeur cette éteinte.
    Nos parents sont les premiers êtres avec lesquels nous avons des relations. A mon avis, nombre de blessures viennent de la mauvaise image que nous avons de nos relations avec nos parents.

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